Les changements chez les patients
Il est des changements rapides et nécessaires, comme la sédation de la douleur (ou au moins sa diminution dans les cas graves), un rétablissement des fonctions essentielles (appétit, digestion, sommeil), en fonction de l’implication du patient à mieux se nourrir et à se coucher à des heures attendues par la nature. Il est également des changements qui demandent parfois plus de temps, plus de soins.
Des changements pour de nouvelles possibilités
Ce sont ces changements qui, en libérant des dépenses énergétiques internes, donnent au patient la possibilité de dépenser son énergie autrement. Il n’est pas rare de voir des patients se tourner vers des activités sociales qu’ils n’envisageaient pas auparavant, reprendre le sport, des activités artistiques ou encore être capables de rentrer dans de nouveaux apprentissages qui, jusqu’alors n’étaient pas envisagés.
Une nouvelle capacité énergétique
Tous ces éléments nouveaux signent à la fois une capacité énergétique transférée depuis des dépenses pathologiques vers des besoins physiologiques et un retour à ce que Confucius considère comme l’essentiel de l’être humain : apprendre et se mettre en relation avec les autres. En fonction de l’histoire de chacun, cela pourra être considéré comme un réveil ou un éveil.